Les Françaises satisfaites de la chirurgie esthétique
Le 14/03/2013 à 08h00 - Infos esthétique
Selon une enquête IFOP, 84% des femmes françaises à avoir fait confiance au bistouri ne le regrettent pas, contre 79% il y a dix ans. Le nombre de femmes qui ont eu recours à la chirurgie esthétique est estimé à 14% de la population féminine française. Pourquoi cette progression? Techniques plus fiables? chirurgiens mieux formés? Clientes plus informées?
Ce qui ressort de l'étude, c'est que les clientes savent mieux où elles vont en faisant appel à la chrirurgie esthétique. En effet, la majorité des clientes ont recours à des techniques fiables, reconnues et de chirurgie non-invasive. Au tableau de chasse des françaises, ont retrouve en première position les opérations de la poitrine (augmentation et réduction) avec 19% des actes de chirurgie esthétique, 18% d'injections dans les rides, 14% de lipoaspiration et 13 % de rhinoplastie. Ces opérations sont pratiquées depuis de nombreuses années maintenant et ne présente plus de caractère expérimental, les clientes savent à quoi s'attendre en terme de résultat et ont donc moins de chances d'être déçues.
La deuxième raison de l'augmentation des satisfaites de la chirurgie esthétique exprimée par l'enquête est l'amélioration de la qualité des motivations des clientes pour passer sur le billard. Selon le sondage, dans 64% des cas, les femmes disent avoir recours à la chirurgie esthétique "pour se plaire davantage à elles-même". Cela paraît effectivement être la meilleure raison possible pour envisager un acte chirurgical qui va transformer son apparence. Et 37% des interrogées déclarent avoir dit oui à la chirurgie esthétique pour "mettre fin à un complexe physique". Ce qui revient à vouloir se plaire davantage.
On a en effet moins de chances d'être déçu en acceptant un coup de bistouri pour vouloir avoir une apparence en accord avec l'image que l'on se fait de soi, qu'en se faisant opérer pour plaire davantage à son homme (dont les goûts peuvent changer) ou pour pouvoir rentrer dans la robe de ses 19 ans par pure et simple nostalgie.
Selon les praticiens interrogés, on assiste de moins en moins à des phénomènes de clientes qui demandent à vouloir tout changer pour ressembler à une star qu'elles admirent, ou a des demandes surréalistes qui élèveraient le métier de chirurgien au rang de demi-dieu.
Des techniques en place, des clientes réalistes... Voilà qui annonce de beaux jours à la chirurgie esthétique!